L’Église et respect de l’hijab au Brésil

11:12 - July 12, 2022
Code de l'info: 3481331
Téhéran(IQNA)-Ahmad Qaderi a écrit : "Le hijab existe non seulement dans les religions monothéistes, mais également dans les religions non divines et il faut dire qu'il n'est pas seulement un principe religieux, mais une valeur humaine."

L’Hodjat ol-islam Ahmad Qaderi, prédicateur du Centre islamique de Qom, envoyé au Brésil de février 1997 à juin 1998, dans les villes de Guyane et de Guaranta, dans une courte note à la veille du jour d’Afafat, sur l’Hijab a écrit : « Non seulement dans le monde occidental d'aujourd'hui, mais aussi au cours des siècles passés, l’hijab dans les différentes cultures, a toujours protégé les femmes des dangers. L’hijab a une histoire brillante non seulement dans les religions monothéistes, mais aussi dans d'autres rituels non divins, et en un mot, il faut dire que l’hijab n'est pas seulement une règle religieuse mais une valeur humaine. J'ai vu cela de mes propres yeux, à plusieurs reprises, pendant mon séjour au Brésil. Bien que dans la culture générale du peuple brésilien, avoir une couverture similaire à nous Iraniens, n'est pas coutumier pour les hommes et pour les femmes, des femmes portaient des vêtements plus couvrants pour respecter les personnes dont l'apparence avait une signification spirituelle et religieuse, et selon nous musulmans, elles respectaient leur hijab. Cela s’est répété plusieurs fois lord des réunions officielles. Dans les églises qui n'ont pas encore été infectées par la culture occidentale matérialiste, les femmes viennent avec des foulards comme le faisaient les femmes dans le temps.  Les femmes qui viennent à l'église, portent des foulards pour participer aux messes, et plus intéressant encore, devant les portes d'entrée de certaines églises, des foulards blancs leur sont distribués. Dans certaines églises que j'ai visitées, les portes d'entrée pour les femmes et les hommes sont séparées, ainsi que leur présence dans la salle paroissiale, ce qui selon certains défenseurs des droits des femmes aujourd'hui, est une pratique indéfendable.

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